Ma première expérience en ULM, par Patrice Souchaud.

 

ULM vu de profil, sur la piste à la sortie du hangar en arrière-plan. Grand ciel bleu. Les pilotes sont déjà à bord.

Après 4 ans de pilotage sur DR 400, j’ai voulu essayer un ULM dans mon Poitou natal. Le terrain d’ULM appartient à un ancien commandant de bord d’Air France et instructeur qui s’ennuie à la retraite. Il a accepté de me prendre comme élève immédiatement après mon contact téléphonique et il en est sorti enchanté.

 

Fiche technique de l'ULM punaisée au mur. Informations et descriptifs de base sur l'appareil.

Première prise en main de l’ULM après un débriefing très complet et découverte tactile de l’ULM. Je suis monté à bord par le devant de l’appareil. Il y a un environnement de formule 1. Le décollage est très rapide.

 

A côté du cockpit ouvert, les deux pilotes s'apprêtent à monter dans l'appareil. en discussion, les derniers réglages se font.

 

Après une montée rapide, virage exceptionnel. L’appareil réagit au millimètre près. J’ai fait beaucoup de manœuvres de maniabilité, des décrochages dignes de la foire du trône, un atterrissage sans arrêt et posé définitivement au bout de trois quarts d’heure. L’ULM a 3 ans et la vitesse de croisière de 220 km/heure.